

Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
Édition d'hier
Édition de mardi
Édition de lundi
Édition de samedi
Édition de vendredi
Édition du 10 avril
Dossier
Bâtir la ville sur la ville

Découvrir la sélection
Le Cercle est un lieu essentiel de la vie locale : commentez, réagissez, et construisez avec nous l’actualité.
Les riverains de l’avenue de Gradignan, via l’association AGIR, réclament depuis des mois un passage en sens unique de leur rue, pourtant historiquement très passante. Une demande présentée comme un impératif de sécurité — « protéger les piétons, les cyclistes, nos enfants », peut-on lire sur les banderoles — mais qui semble surtout viser à réduire la circulation devant chez soi, au risque de la reporter sur des rues voisines plus calmes ou sur d’autres axes déjà très fréquentés.
Voir plusUn ancien article de « Sud Ouest » rappelait que certains habitants avaient acquis leur maison à un prix avantageux, peut-être sans se demander pourquoi. Cela évoque une scène culte du film « Nous irons tous au paradis », où quatre amis achètent une maison à la campagne à un prix imbattable… avant de découvrir qu’elle est située sous le couloir aérien d’un aéroport. La visite avait eu lieu un jour de grève des avions, bien sûr.
Les inquiétudes des riverains de la rue Pierre Corneille, jusqu’ici épargnée par le trafic, et peu adaptée pour un trafic dense, paraissent dès lors plus compréhensibles.
Le passage du Bus Express, initialement prévu avenue Marc Desbats, mieux adaptée, a été redirigé sans explication claire.
Plutôt qu’opposer les quartiers, une vision d’ensemble, concertée et équitable, s’impose.
Habitante de Saint Médard en Jalles dans une petite rue très étroite (ancienne impasse) qui dessert maintenant un Lycée Pro, un Ehpad, une MAS (Charles Perrens), un foyer APAJH, une salle de sport et bientôt une Maison de la petite enfance nous rencontrons les mêmes problèmes depuis qu’il a été décidé d’imposer, à la demande d’habitants d’un quartier Le camp des Lanciers, un sens interdit afin que ces derniers bénéficient d’une circulation « apaisée ». Pour les autres aucune prise en compte de leurs difficultés : passages de véhicules de plus de 3,5 tonnes alors qu’un panneau leur interdit l’accès, passage intensifié depuis le début des travaux de la maison de la petite enfance, vitesse 30 non respectée, rue très étroite sans trottoirs, avec aux heures scolaires beaucoup d’enfants à vélo ou à pied et des mamans avec poussette. Voilà j’en passe. Un élu qui vocifère et affirme qu’il fera ce qu’il veut, et il le fait ! des courriers « j’écris à Mon Maire » sans réponse ! Quelques élus heureusement font ce qu’ils peuvent, conscients des problèmes rencontrés, mais j’ai le sentiment qu’ils sont bien seuls ! On nous renvoie vers la Métropole avec des techniciens qui vont toujours dans le sens des élus ! on l’a vu pour le projet du Tram sur la piste cyclable. Donc la voix des habitants ne compte que lors des réunions approuvant les projets municipaux ou métropolitains (dîtes démocratie participative) et dans les décomptes lors des échéances électorales. C’est bien dommage !
Voir plusChez Kocliko, on a beaucoup de respect pour Olivier Sidler et l’apport essentiel d’Enertech à l’écoconception des bâtiments. Certaines données issues de leurs campagnes de mesure avec EDF nous servent d’ailleurs encore aujourd’hui dans nos modélisations.
Voir plusMais sur ce coup-là, Olivier aurait peut-être pu creuser un peu plus notre solution :clin_d’œil:
Contrairement à ce qui est évoqué dans l’article, notre méthode prend bien en compte :
l’ensoleillement (orientation, masques solaires…),
les déperditions liées à la ventilation,
les apports internes liés aux usages électriques, via les compteurs Linky pour les habitants qui souhaitent maximiser la précision.
Alors bien sûr, ce n’est pas parfait – aucun modèle ne l’est – mais c’est déjà nettement plus précis qu’un répartiteur classique sur radiateur.
Et surtout, les économies d’énergie sont au rendez-vous, ce qui reste, au fond, notre cheval de bataille commun.
Sans rancune, Olivier !
Les riverains de l’avenue de Gradignan, via l’association AGIR, réclament depuis des mois un passage en sens unique de leur rue, pourtant historiquement très passante. Une demande présentée comme un impératif de sécurité — « protéger les piétons, les cyclistes, nos enfants », peut-on lire sur les banderoles — mais qui semble surtout viser à réduire la circulation devant chez soi, au risque de la reporter sur des rues voisines plus calmes ou sur d’autres axes déjà très fréquentés.
Un ancien article de « Sud Ouest » rappelait que certains habitants avaient acquis leur maison à un prix avantageux, peut-être sans se demander pourquoi. Cela évoque une scène culte du film « Nous irons tous au paradis », où quatre amis achètent une maison à la campagne à un prix imbattable… avant de découvrir qu’elle est située sous le couloir aérien d’un aéroport. La visite avait eu lieu un jour de grève des avions, bien sûr.
Les inquiétudes des riverains de la rue Pierre Corneille, jusqu’ici épargnée par le trafic, et peu adaptée pour un trafic dense, paraissent dès lors plus compréhensibles.
Le passage du Bus Express, initialement prévu avenue Marc Desbats, mieux adaptée, a été redirigé sans explication claire.
Plutôt qu’opposer les quartiers, une vision d’ensemble, concertée et équitable, s’impose.
Habitante de Saint Médard en Jalles dans une petite rue très étroite (ancienne impasse) qui dessert maintenant un Lycée Pro, un Ehpad, une MAS (Charles Perrens), un foyer APAJH, une salle de sport et bientôt une Maison de la petite enfance nous rencontrons les mêmes problèmes depuis qu’il a été décidé d’imposer, à la demande d’habitants d’un quartier Le camp des Lanciers, un sens interdit afin que ces derniers bénéficient d’une circulation « apaisée ». Pour les autres aucune prise en compte de leurs difficultés : passages de véhicules de plus de 3,5 tonnes alors qu’un panneau leur interdit l’accès, passage intensifié depuis le début des travaux de la maison de la petite enfance, vitesse 30 non respectée, rue très étroite sans trottoirs, avec aux heures scolaires beaucoup d’enfants à vélo ou à pied et des mamans avec poussette. Voilà j’en passe. Un élu qui vocifère et affirme qu’il fera ce qu’il veut, et il le fait ! des courriers « j’écris à Mon Maire » sans réponse ! Quelques élus heureusement font ce qu’ils peuvent, conscients des problèmes rencontrés, mais j’ai le sentiment qu’ils sont bien seuls ! On nous renvoie vers la Métropole avec des techniciens qui vont toujours dans le sens des élus ! on l’a vu pour le projet du Tram sur la piste cyclable. Donc la voix des habitants ne compte que lors des réunions approuvant les projets municipaux ou métropolitains (dîtes démocratie participative) et dans les décomptes lors des échéances électorales. C’est bien dommage !
Chez Kocliko, on a beaucoup de respect pour Olivier Sidler et l’apport essentiel d’Enertech à l’écoconception des bâtiments. Certaines données issues de leurs campagnes de mesure avec EDF nous servent d’ailleurs encore aujourd’hui dans nos modélisations.
Mais sur ce coup-là, Olivier aurait peut-être pu creuser un peu plus notre solution :clin_d’œil:
Contrairement à ce qui est évoqué dans l’article, notre méthode prend bien en compte :
l’ensoleillement (orientation, masques solaires…),
les déperditions liées à la ventilation,
les apports internes liés aux usages électriques, via les compteurs Linky pour les habitants qui souhaitent maximiser la précision.
Alors bien sûr, ce n’est pas parfait – aucun modèle ne l’est – mais c’est déjà nettement plus précis qu’un répartiteur classique sur radiateur.
Et surtout, les économies d’énergie sont au rendez-vous, ce qui reste, au fond, notre cheval de bataille commun.
Sans rancune, Olivier !