Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Ce gisement invisible de plus de 300 000 logements vides ou sous-occupés en Gironde (2/2)
Des raisons sociales et écologiques – faire avec l'existant pour loger tout le monde, notamment une population vieillissante, tout en préservant l'environnement – animent le débat sur les logements vacants ou sous occupés. Ceux-ci représentent 38% du parc en Gironde, voire les deux tiers dans certaines villes disposant de nombreuses résidences secondaires. Si les initiatives restent embryonnaires, la lutte contre le gaspillage immobilier commence à s'imposer comme un enjeu majeur. Deuxième volet de cette enquête, et fin de notre dossier "Bâtir la ville sur la ville".
Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
Édition d'hier
Photo : Habitats des possibles/DR
Ce gisement invisible de plus de 300 000 logements vides ou sous-occupés en Gironde (1/2)
Des raisons sociales et écologiques – faire avec l'existant pour loger tout le monde, notamment une population vieillissante, et préserver les sols et les ressources – animent le débat sur logements vacants ou sous occupés. Ceux-ci représentent 38% du parc en Gironde, et même les deux tiers dans les villes avec de nombreuses résidences secondaires. Certaines ont engagé non sans difficultés une lutte active contre la vacance, à l'instar de Castillon-la-Bataille. Une enquête en deux volets, en clôture de notre dossier "Bâtir la ville sur la ville".
Édition de samedi
Photo : Vince034/Wikimedia Commons/CC
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Édition de vendredi
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Édition de jeudi
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Édition de mercredi
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Édition du 1er avril
Photo : DR
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Bâtir la ville sur la ville
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et pour plus de détails techniques – et l’aspect sciences po – je renvoie aux commentaires de Mesuré…
Voir pluscomme la rédac est en weekend et n’a pu décoincer mon commentaire de vendredi soir où, cartes à l’appui, je comparais la situation indigente du tram dans l’interco bordelaise avec celles de Montpellier et Strasbourg, je renvoie au site « CartoMetro », que n’importe quel lecteur peut trouver avec son moteur de recherche… :
quand vous l’ouvrez vous sélectionnez à gauche de l’écran le nom de l’interco dont vous souhaitez consulter le plan du réseau, extrêmement précis, qui va jusqu’à mentionner le moindre aiguillage…
on constatera l’énorme différence avec notre situation, tant en nombre de lignes de tram que de connexions possibles (le fameux « maillage »), qui donne toute la souplesse à l’exploitation en cas de coup dur, ou de simple maintenance, mais qui permet également les lignes directes entre les grands pôles générateurs de mobilité, épargnant d’autant les correspondances :
rien de tel chez nous, avec de plus l’extrême vulnérabilité du réseau radial et du franchissement de la Garonne par un seul ouvrage…
cette comparaison laisse entrevoir le chemin à parcourir pour la remise à niveau, avec les rustines envisagées par nos chers élus complètement insuffisantes pour corriger les défaillances du système, où c’est l’architecture d’origine (radiale) qui rend vain ce genre de « réparation »…
et pour filer la métaphore adaptée à la situation c’est plus de roue, ou plutôt d’anneau, qu’il faudrait parler que de « barreau » pour nous faire avancer plus vite et plus nombreux…
Voir plusmerci à la rédaction de décoincer mon message d’hier soir, où l’on peut comparer notre triste situation de tram – à trois lignes et demi, sans maillage et avec la vulnérabilité maximale en cas de pépin ou de maintenance… – avec celle très enviable des vrais réseaux de Montpellier et Strasbourg, plans à l’appui…
Voir pluset pour plus de détails techniques – et l’aspect sciences po – je renvoie aux commentaires de Mesuré…
comme la rédac est en weekend et n’a pu décoincer mon commentaire de vendredi soir où, cartes à l’appui, je comparais la situation indigente du tram dans l’interco bordelaise avec celles de Montpellier et Strasbourg, je renvoie au site « CartoMetro », que n’importe quel lecteur peut trouver avec son moteur de recherche… :
quand vous l’ouvrez vous sélectionnez à gauche de l’écran le nom de l’interco dont vous souhaitez consulter le plan du réseau, extrêmement précis, qui va jusqu’à mentionner le moindre aiguillage…
on constatera l’énorme différence avec notre situation, tant en nombre de lignes de tram que de connexions possibles (le fameux « maillage »), qui donne toute la souplesse à l’exploitation en cas de coup dur, ou de simple maintenance, mais qui permet également les lignes directes entre les grands pôles générateurs de mobilité, épargnant d’autant les correspondances :
rien de tel chez nous, avec de plus l’extrême vulnérabilité du réseau radial et du franchissement de la Garonne par un seul ouvrage…
cette comparaison laisse entrevoir le chemin à parcourir pour la remise à niveau, avec les rustines envisagées par nos chers élus complètement insuffisantes pour corriger les défaillances du système, où c’est l’architecture d’origine (radiale) qui rend vain ce genre de « réparation »…
et pour filer la métaphore adaptée à la situation c’est plus de roue, ou plutôt d’anneau, qu’il faudrait parler que de « barreau » pour nous faire avancer plus vite et plus nombreux…
merci à la rédaction de décoincer mon message d’hier soir, où l’on peut comparer notre triste situation de tram – à trois lignes et demi, sans maillage et avec la vulnérabilité maximale en cas de pépin ou de maintenance… – avec celle très enviable des vrais réseaux de Montpellier et Strasbourg, plans à l’appui…