Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
Édition d'hier
Photo : SC/Rue89 Bordeaux
Fuir Bangui, se reconstruire à Bordeaux : le parcours d’exil de Grâce à Dieu Daoua
Bercé depuis son enfance par les riffs de rumba congolaise et le chœur religieux de sa paroisse, Grâce à Dieu Daoua, artiste engagé, a dû quitter la Centrafrique en 2017 à cause de ses textes critiques envers le pouvoir. Arrivé à Bordeaux, il se reconstruit dans le domaine de l’informatique et rêve de reprendre la musique. Cinquième et dernier portrait de l’été 2025 de notre série "Du monde en Gironde".
Édition de lundi
Photo : TM/Rue89 Bordeaux
Photo : James Gathany/ commons.wikimedia.org/CC
Édition de vendredi
Photo : SC/Rue89 Bordeaux
Édition de jeudi
Photo : SC/Rue89 Bordeaux
Édition du 13 août
Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Édition du 12 août
Photo : MB/Rue89 Bordeaux
Le Centre Jean Moulin, un musée de la Résistance qui prend son mal en patience
À la fois musée et centre de documentation, le Centre Jean Moulin est un lieu au rayonnement national. Fermé au public depuis 2018 suite à des inondations, sa réouverture se fait attendre et ne devrait pas avoir lieu avant quelques années encore. Cinquième et dernier volet de notre série d'été : "Patrimoine à la trappe".
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Pour Gaza, le Bordeaux qui boycotte Israël
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Un TGV sur une ligne classique « modernisée », c’est comme mettre une Ferrari sur un chemin de campagne : ça roule, mais ça n’a aucun sens.
Voir plus– Les LGV ne coûtent pas plus cher, elles rapportent plus. Des millions de passagers en plus, ça finance largement la maintenance.
– Sans LGV, la SNCF n’aurait jamais repris de voyageurs à l’avion. Le TGV, c’est le seul vrai succès ferroviaire depuis 40 ans.
– Parler de « dettes » est hypocrite : ce sont des investissements, pas des trous sans fond. En 40 ans, les LGV ont payé leur place.
– Les lignes classiques ont été abandonnées non pas à cause des LGV, mais faute de vision politique locale. Accuser le TGV, c’est se tromper de cible.
Si on veut que les trains du quotidien existent demain, il faut que le rail reste attractif aujourd’hui. Et ça, seule la grande vitesse le permet.
Les défenseurs inconditionnels des LGV feignent de ne pas savoir que les TGV peuvent rouler sur des lignes existantes modernisées .
La libération de sillons est inutile quand les vois existantes ne sont pas saturées.
Les trains du quotidien souffrent d’un manque de financement pour renouveler les matériel et de budget pour du personnel conduire les trains.
Le coût de maintenance d’un km de LGV est 10 fois celui d’un km de voie classique: 40000 euros /km contre 400000/km pour les LGV.
Dire que les LGV servent de moteur au développement des lignes normales est une erreur: l’endettement va peser pendant 40 ans, et il sera très difficile de trouver le financement pour développer les autres formes de train. C’est ce qu’on constate depuis plus de 40 ans, avec l’abandon et la déshérence des les lignes classiques (Paris Orléans Limoges Toulouse, par exemple).
Les opposants aux LGV ne sont pas contre les TGV. Ils demandent un développement cohérent de tous les trains, pour réduire les trajets aériens et routiers.
Voir plusTragique accident dû à l’inconscience et la bêtise, mais s’il vous plaît n’appelez pas ces délinquants des motards.
Voir plusUn TGV sur une ligne classique « modernisée », c’est comme mettre une Ferrari sur un chemin de campagne : ça roule, mais ça n’a aucun sens.
– Les LGV ne coûtent pas plus cher, elles rapportent plus. Des millions de passagers en plus, ça finance largement la maintenance.
– Sans LGV, la SNCF n’aurait jamais repris de voyageurs à l’avion. Le TGV, c’est le seul vrai succès ferroviaire depuis 40 ans.
– Parler de « dettes » est hypocrite : ce sont des investissements, pas des trous sans fond. En 40 ans, les LGV ont payé leur place.
– Les lignes classiques ont été abandonnées non pas à cause des LGV, mais faute de vision politique locale. Accuser le TGV, c’est se tromper de cible.
Si on veut que les trains du quotidien existent demain, il faut que le rail reste attractif aujourd’hui. Et ça, seule la grande vitesse le permet.
Les défenseurs inconditionnels des LGV feignent de ne pas savoir que les TGV peuvent rouler sur des lignes existantes modernisées .
La libération de sillons est inutile quand les vois existantes ne sont pas saturées.
Les trains du quotidien souffrent d’un manque de financement pour renouveler les matériel et de budget pour du personnel conduire les trains.
Le coût de maintenance d’un km de LGV est 10 fois celui d’un km de voie classique: 40000 euros /km contre 400000/km pour les LGV.
Dire que les LGV servent de moteur au développement des lignes normales est une erreur: l’endettement va peser pendant 40 ans, et il sera très difficile de trouver le financement pour développer les autres formes de train. C’est ce qu’on constate depuis plus de 40 ans, avec l’abandon et la déshérence des les lignes classiques (Paris Orléans Limoges Toulouse, par exemple).
Les opposants aux LGV ne sont pas contre les TGV. Ils demandent un développement cohérent de tous les trains, pour réduire les trajets aériens et routiers.
Tragique accident dû à l’inconscience et la bêtise, mais s’il vous plaît n’appelez pas ces délinquants des motards.