Photo : WS/Rue89 Bordeaux

Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Édition du 21 octobre
Dossier
La révolution pipi-caca
Photo : WS/Rue89 Bordeaux

Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Manque plus que Christine Bost sur la photo pour prêt de 10 milliards de dette (Ville de Bordeaux, Bordeaux Métropole, Conseil Départemental de la Gironde, Conseil Régional de Nouvelle Aquitaine) !
Voir pluslol, je pense que « y en y en à marre » est en train de tomber amoureux de moi ! Je dois dire que je suis toujours un peu touché par un amour anonyme mais bon en toute modestie j’en ai l habitude…. Alors, comment je réagis en général? Face à ce genre de parrobot habituel je suis assez tolérant, car je sens chez eux une certaine solitude et un manque de réflexion pertinente! Ces parrobots formulent des phrases toutes faites genre « un mélange d indignation professorale et de certitude inoxydable », comme si l’anonyme en question ne sait pas ce que signifie la démocratie et l’indépendance pour »y en marre.. » c’est comme si chacun n’avait pas le droit de s’indigner et de douter! » des leçons d’histoire…climatisées! » autre exemple, désolé, anonyme, ça ne veut strictement rien dire ! Mais, j’ai tellement d’empathie pour les donneurs de leçons car on sait que psychologiquement ces parrobots ou écholâmes ont ce besoin quasi physiologique pour exister! merci de m’avoir lu « y en a marre… » j’attends la suite lol
Voir plusToujours prompt à dégainer la morale comme d’autres sortent un parapluie, on retrouve chez lui ce mélange rare d’indignation professorale et de certitude inoxydable : l’assurance de détenir la vérité sur tout : la météo, la politique, et désormais la sociologie (très certainement un relent d’un diplôme défraîchi). On sourit aussi à ce rappel attendri de « mon argent à moi, pas public ». C’est charmant, presque attendrissant, cette soudaine pudeur financière de quelqu’un qui a longtemps vécu sous les projecteurs d’un service public, grassement payé par l’argent public. Quant aux leçons d’histoire politique, on aurait aimé qu’elles soient un peu moins autocentrées et un peu plus climatisées. Bref, derrière le ton doctoral, on sent surtout une vieille habitude : parler d’en haut, corriger les copies, museler ses contradicteurs.
Voir plusManque plus que Christine Bost sur la photo pour prêt de 10 milliards de dette (Ville de Bordeaux, Bordeaux Métropole, Conseil Départemental de la Gironde, Conseil Régional de Nouvelle Aquitaine) !
lol, je pense que « y en y en à marre » est en train de tomber amoureux de moi ! Je dois dire que je suis toujours un peu touché par un amour anonyme mais bon en toute modestie j’en ai l habitude…. Alors, comment je réagis en général? Face à ce genre de parrobot habituel je suis assez tolérant, car je sens chez eux une certaine solitude et un manque de réflexion pertinente! Ces parrobots formulent des phrases toutes faites genre « un mélange d indignation professorale et de certitude inoxydable », comme si l’anonyme en question ne sait pas ce que signifie la démocratie et l’indépendance pour »y en marre.. » c’est comme si chacun n’avait pas le droit de s’indigner et de douter! » des leçons d’histoire…climatisées! » autre exemple, désolé, anonyme, ça ne veut strictement rien dire ! Mais, j’ai tellement d’empathie pour les donneurs de leçons car on sait que psychologiquement ces parrobots ou écholâmes ont ce besoin quasi physiologique pour exister! merci de m’avoir lu « y en a marre… » j’attends la suite lol
Toujours prompt à dégainer la morale comme d’autres sortent un parapluie, on retrouve chez lui ce mélange rare d’indignation professorale et de certitude inoxydable : l’assurance de détenir la vérité sur tout : la météo, la politique, et désormais la sociologie (très certainement un relent d’un diplôme défraîchi). On sourit aussi à ce rappel attendri de « mon argent à moi, pas public ». C’est charmant, presque attendrissant, cette soudaine pudeur financière de quelqu’un qui a longtemps vécu sous les projecteurs d’un service public, grassement payé par l’argent public. Quant aux leçons d’histoire politique, on aurait aimé qu’elles soient un peu moins autocentrées et un peu plus climatisées. Bref, derrière le ton doctoral, on sent surtout une vieille habitude : parler d’en haut, corriger les copies, museler ses contradicteurs.