

Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Dossier
Bâtir la ville sur la ville

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( suite) Ceux qui n’ont pas les moyens de vivre en centre-ville ou de se déplacer en vélo-cargo bio-sourcé ? Méprisés ! Ceux qui tiennent encore debout leur petit commerce ? Ignorés. Ceux qui alertent sur la baisse d’attractivité ? L’idéologie plutôt que la gouvernance. Pendant ce temps, la saleté prolifère, l’insécurité explose, les attroupements se multiplient. Plutôt que d’assurer le minimum : sécurité, propreté, attractivité la mairie se perd dans la symbolique et la communication. Une brigade anti-incivilité pour faire oublier l’état des rues ? Un plan vélo comme cache-misère d’un chaos urbain improvisé ? Une concertation en trompe-l’œil pendant qu’on bétonne la politique de la ville avec l’intransigeance d’un petit comité militant ? Les commerçants autour de la Porte de Bourgogne, déjà asphyxiés par les impôts et les restrictions, sont laissés seuls face aux chantiers colossaux du tramway et du Pont de Pierre. Des travaux sans concertation, sans soutien réel, avec pour seule consolation un « plan de substitution » pensé pour les flux, jamais pour les humains qui en vivent. La ville contre ses habitants : Sous Pierre Hurmic, Bordeaux n’est plus gérée, elle est rééduquée. Le dialogue est remplacé par l’injonction, l’économie par la morale, l’intérêt général par l’obsession militante. Ce n’est plus la ville des lumières, c’est la ville des interdits. Bx est ainsi devenue l’otage d’une idéologie qui confond écologie et punition, progrès et décroissance, citoyens et cobayes
Voir plusBordeaux, la belle endormie… par idéologie
Depuis 2020, Bordeaux n’est plus seulement une métropole, c’est devenu un laboratoire d’utopies dogmatiques menées tambour battant par Pierre Hurmic et ses alliés d’EELV et de l’extrême gauche. Une ville autrefois synonyme d’art de vivre, de rayonnement et d’équilibre est désormais enfoncée dans un marasme économique, une crise de confiance sans précédent et une perte de repères généralisée.
La Chambre de Commerce et d’Industrie tire le signal d’alarme ? La réponse de la mairie ? Hausser les épaules et resserrer les boulons idéologiques.
Bordeaux 2024, c’est :
+40 % de liquidations judiciaires
+36 % de procédures au tribunal de commerce
Une hémorragie de clients en centre-ville
Des commerçants asphyxiés par les marteaux-piqueurs, la saleté et l’insécurité
Une fiscalité absurde sur le stationnement et les SUV
Une mairie sourde, aveugle, mais pas muette pour asséner son catéchisme vert
Du greenwashing punitif au saccage économique
Voir plusSous prétexte d’écologie, Pierre Hurmic impose une vision punitive, excluante et profondément déconnectée des réalités. La piétonnisation tous azimuts, la taxation des véhicules, l’augmentation délirante des tarifs de stationnement — jusqu’à 15€ les 4 heures — sont autant de mesures qui étranglent les commerçants et font fuir les Bordelais. L’écologie façon Hurmic, ce n’est pas la transition, c’est la fracture. C’est une politique de rejet, pas d’adaptation…
Et qui est donc ce Monsieur « je sais tout » appelé « le rapporteur public » c’est son nom de famille ? non, il doit avoir un nom comme tout le monde lui, qui contre tous, va engager les contribuables à des millions d’impôts supplémentaire et pour combien d’année ? nul ne le sait comme on ne sait pas son nom ?
Voir plus( suite) Ceux qui n’ont pas les moyens de vivre en centre-ville ou de se déplacer en vélo-cargo bio-sourcé ? Méprisés ! Ceux qui tiennent encore debout leur petit commerce ? Ignorés. Ceux qui alertent sur la baisse d’attractivité ? L’idéologie plutôt que la gouvernance. Pendant ce temps, la saleté prolifère, l’insécurité explose, les attroupements se multiplient. Plutôt que d’assurer le minimum : sécurité, propreté, attractivité la mairie se perd dans la symbolique et la communication. Une brigade anti-incivilité pour faire oublier l’état des rues ? Un plan vélo comme cache-misère d’un chaos urbain improvisé ? Une concertation en trompe-l’œil pendant qu’on bétonne la politique de la ville avec l’intransigeance d’un petit comité militant ? Les commerçants autour de la Porte de Bourgogne, déjà asphyxiés par les impôts et les restrictions, sont laissés seuls face aux chantiers colossaux du tramway et du Pont de Pierre. Des travaux sans concertation, sans soutien réel, avec pour seule consolation un « plan de substitution » pensé pour les flux, jamais pour les humains qui en vivent. La ville contre ses habitants : Sous Pierre Hurmic, Bordeaux n’est plus gérée, elle est rééduquée. Le dialogue est remplacé par l’injonction, l’économie par la morale, l’intérêt général par l’obsession militante. Ce n’est plus la ville des lumières, c’est la ville des interdits. Bx est ainsi devenue l’otage d’une idéologie qui confond écologie et punition, progrès et décroissance, citoyens et cobayes
Bordeaux, la belle endormie… par idéologie
Depuis 2020, Bordeaux n’est plus seulement une métropole, c’est devenu un laboratoire d’utopies dogmatiques menées tambour battant par Pierre Hurmic et ses alliés d’EELV et de l’extrême gauche. Une ville autrefois synonyme d’art de vivre, de rayonnement et d’équilibre est désormais enfoncée dans un marasme économique, une crise de confiance sans précédent et une perte de repères généralisée.
La Chambre de Commerce et d’Industrie tire le signal d’alarme ? La réponse de la mairie ? Hausser les épaules et resserrer les boulons idéologiques.
Bordeaux 2024, c’est :
+40 % de liquidations judiciaires
+36 % de procédures au tribunal de commerce
Une hémorragie de clients en centre-ville
Des commerçants asphyxiés par les marteaux-piqueurs, la saleté et l’insécurité
Une fiscalité absurde sur le stationnement et les SUV
Une mairie sourde, aveugle, mais pas muette pour asséner son catéchisme vert
Du greenwashing punitif au saccage économique
Sous prétexte d’écologie, Pierre Hurmic impose une vision punitive, excluante et profondément déconnectée des réalités. La piétonnisation tous azimuts, la taxation des véhicules, l’augmentation délirante des tarifs de stationnement — jusqu’à 15€ les 4 heures — sont autant de mesures qui étranglent les commerçants et font fuir les Bordelais. L’écologie façon Hurmic, ce n’est pas la transition, c’est la fracture. C’est une politique de rejet, pas d’adaptation…
Et qui est donc ce Monsieur « je sais tout » appelé « le rapporteur public » c’est son nom de famille ? non, il doit avoir un nom comme tout le monde lui, qui contre tous, va engager les contribuables à des millions d’impôts supplémentaire et pour combien d’année ? nul ne le sait comme on ne sait pas son nom ?