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Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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au risque de bloquer ce commentaire je mets ici le lien de l’article de Gilles Pinçon, cité précédemment… :
https://shs.cairn.info/revue-projet-2020-1-page-47?lang=fr
… et du même auteur, cosignataire, un autre article, pour tenter au niveau citoyen de « casser le moule » du système politique local, en construisant une offre politique alternative, à quelques mois des prochaines élections municipales… :
« Contester la métropole », 2021, revue Métropoles, Sciences sociales de l’urbain
https://journals.openedition.org/metropoles/7794
Voir plus» […] Christine Bost, maire d’Eysines, a souligné que la piste sécante avait « joué un rôle important dans la lutte contre les incendies de 2022 […] »
et notre présidente socialo de l’interco bordelaise venant éteindre la contestation anti-piste sécante à coup de canadairs… !
décidemment la majorité gouvernementale est bien plus large que ce que laisseraient croire les apparences…
hisser le taux de TVA sur la billetterie d’avion de 10 à 20% et annuler celle des transports collectifs serait excellent pour le climat et la société, avec les deux effets attendus :
limiter l’envolée des températures et… la fréquentation de l’aéroport, au profit de celle de la gare St-Jean…
quant aux transports collectifs du coin on peut être sûr que la dame en question nous fourguera du bus à perte de vue, dans ses projets – si on arrive à en deviner la consistance… – si elle continue à piloter (!) après mars 2026 la même escadrille de mairies coalisées pour tourner en rond…
on devrait changer le titre du célèbre film de Miloš Forman pour « vol au-dessus d’un nid de narcisses » tellement nos édiles du coin sont obnubilés exclusivement par leur réélection, au détriment de l’intérêt général de l’interco :
énième dinguerie de la fameuse gouvernance locale de la « cogestion » opaque des intérêts municipaux…
là-dessus ne pas hésiter à lire où relire le politiste bordelais Gilles Pinçon, particulièrement « Opaques métropoles, 2020. Revue Projet, Le vrai pouvoir des maires »…
Voir plusTaguer des slogans politiques en plein centre-ville, dégrader des bâtiments publics comme le tribunal et l’École de la magistrature, défier les forces de l’ordre, et s’en sortir avec 35 heures de travail d’intérêt général, c’est ça, aujourd’hui, la réponse de la justice en France ? C’est pathétique.
Qu’on ne se trompe pas : il ne s’agit pas d’un simple écart de jeunesse. C’est un acte volontaire, revendiqué, commis en pleine Marche des fiertés pour détourner un événement en tribune idéologique sur fond de conflit international. Visage masqué, slogans accusatoires, posture militante radicalisée, rébellion lors de l’interpellation : tous les éléments sont là. Et pourtant, la justice a requalifié les faits, minoré la peine, et offert une sortie sans casier.
Pire encore, l’article dégouline de sympathie pour l’accusée, en enjolivant son militantisme et en travestissant un acte de vandalisme en « cri du cœur ». Quand on s’en prend aux institutions de la République, il ne s’agit pas de poésie engagée, mais d’illégalité assumée.
Un État digne de ce nom ne devrait jamais trembler face à ceux qui testent ses limites. Cette indulgence constante ne fait qu’encourager l’impunité militante. Et demain ? Un cocktail Molotov « symbolique » sur une façade, toujours au nom de l’émotion ?
La faiblesse n’est pas une vertu. La loi doit être claire, ferme, et appliquée. Pas négociée selon les causes du moment.
Voir plusau risque de bloquer ce commentaire je mets ici le lien de l’article de Gilles Pinçon, cité précédemment… :
https://shs.cairn.info/revue-projet-2020-1-page-47?lang=fr
… et du même auteur, cosignataire, un autre article, pour tenter au niveau citoyen de « casser le moule » du système politique local, en construisant une offre politique alternative, à quelques mois des prochaines élections municipales… :
« Contester la métropole », 2021, revue Métropoles, Sciences sociales de l’urbain
https://journals.openedition.org/metropoles/7794
» […] Christine Bost, maire d’Eysines, a souligné que la piste sécante avait « joué un rôle important dans la lutte contre les incendies de 2022 […] »
et notre présidente socialo de l’interco bordelaise venant éteindre la contestation anti-piste sécante à coup de canadairs… !
décidemment la majorité gouvernementale est bien plus large que ce que laisseraient croire les apparences…
hisser le taux de TVA sur la billetterie d’avion de 10 à 20% et annuler celle des transports collectifs serait excellent pour le climat et la société, avec les deux effets attendus :
limiter l’envolée des températures et… la fréquentation de l’aéroport, au profit de celle de la gare St-Jean…
quant aux transports collectifs du coin on peut être sûr que la dame en question nous fourguera du bus à perte de vue, dans ses projets – si on arrive à en deviner la consistance… – si elle continue à piloter (!) après mars 2026 la même escadrille de mairies coalisées pour tourner en rond…
on devrait changer le titre du célèbre film de Miloš Forman pour « vol au-dessus d’un nid de narcisses » tellement nos édiles du coin sont obnubilés exclusivement par leur réélection, au détriment de l’intérêt général de l’interco :
énième dinguerie de la fameuse gouvernance locale de la « cogestion » opaque des intérêts municipaux…
là-dessus ne pas hésiter à lire où relire le politiste bordelais Gilles Pinçon, particulièrement « Opaques métropoles, 2020. Revue Projet, Le vrai pouvoir des maires »…
Taguer des slogans politiques en plein centre-ville, dégrader des bâtiments publics comme le tribunal et l’École de la magistrature, défier les forces de l’ordre, et s’en sortir avec 35 heures de travail d’intérêt général, c’est ça, aujourd’hui, la réponse de la justice en France ? C’est pathétique.
Qu’on ne se trompe pas : il ne s’agit pas d’un simple écart de jeunesse. C’est un acte volontaire, revendiqué, commis en pleine Marche des fiertés pour détourner un événement en tribune idéologique sur fond de conflit international. Visage masqué, slogans accusatoires, posture militante radicalisée, rébellion lors de l’interpellation : tous les éléments sont là. Et pourtant, la justice a requalifié les faits, minoré la peine, et offert une sortie sans casier.
Pire encore, l’article dégouline de sympathie pour l’accusée, en enjolivant son militantisme et en travestissant un acte de vandalisme en « cri du cœur ». Quand on s’en prend aux institutions de la République, il ne s’agit pas de poésie engagée, mais d’illégalité assumée.
Un État digne de ce nom ne devrait jamais trembler face à ceux qui testent ses limites. Cette indulgence constante ne fait qu’encourager l’impunité militante. Et demain ? Un cocktail Molotov « symbolique » sur une façade, toujours au nom de l’émotion ?
La faiblesse n’est pas une vertu. La loi doit être claire, ferme, et appliquée. Pas négociée selon les causes du moment.