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Les tomates de Marmande passent par Rungis pour arriver à Bordeaux. Cette affirmation relayée l'an passé par Alain Juppé est loin d'être évidente. Mais elle appuyait la volonté de l'ex maire de Bordeaux et de son homologue marmandais de développer un projet de "relocalisation alimentaire". Objectif : faciliter la distribution dans la métropole des denrées produites dans le marmandais (tomates, fraises, viande...) en développant les circuits courts et le bio. Un an après, la mairie de Bordeaux dit vouloir "accélérer les coopérations métropolitaines avec les territoires de production" (dont Marmande). Où en est-on ?
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