Experts et associations s’interrogent sur l’impact climatique réel du GPSO (grand projet ferroviaire du Sud Ouest). Un brin fumeux, le bilan carbone prévisionnel des LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax s’avère en effet avoir considérablement sous estimé certains postes d’émissions, dont le « déstockage » du carbone des forêts landaises. Les gaz à effet de serre émis lors du chantier pourraient mettre plusieurs décennies à être compensées par le report modal de l’avion et de la voiture vers le train. Et à condition de surcroît que celui-ci soit au rendez-vous.
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