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Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Mais Ugo Mola, manageur du Stade Toulousain, n’a pas voulu « se chercher d’excuses » :
« Collectivement, nous n’avons pas su endiguer les fulgurances de Bordeaux et marquer dans des temps qui auraient pu donner une autre figure au match. Mais sur l’engagement et la qualité de nos joueurs, je ne remettrai rien en cause aujourd’hui. On a perdu un de nos deux titres. Mais comptez sur nous pour être plus difficile à battre dans quelques semaines ! »
On retrouve le nom de Ugo Mola dans le Monde du 7 mai.
Dans le corps de l’ article de Yves Bordenave : Le disparu qui hante le rugby français ».
Le père, torturé par la douleur, du jeune espoir du Stade Toulousain, qui s’est noyé au cap le 7 août 2024 rend hommage à sa dignité et à son empathie.
The show must go on…?
Voir plusOui , nous itou.
On pourrait appliquer à Tamara le début du célèbre poème de Joachim du Bellay* , puisque aussi bien Saad en arabe veut dire » chanceux, fortuné, heureux,…
* Heureux ( quand même) qui, comme …Tamara, a fait un rude voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :
Plus mon Irak natal, que le Tibre latin,
Voir plusPlus mon petit Tigre, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur des flots de l’ Euphrate. »
Bonjour,
Voir plusJ’ai participé à cette réunion. Je partage votre conclusion.Effectivement l’avenir de ce Hall 1 reste très flou.Peu de chose ont été dites sur la « réinsertion » de cet ensemble dans ce quartier qui n’est plus celui des années 70.Le directeur du développement a bien essayé de vanter les couchers de soleil sur le lac, les déjeuners sur l’herbe sur les berges réappropriées par la population, mais ça reste chimérique. Il y régnait comme un air de précampagne électorale en vue des municipales de 2026, avec quelques piques dirigées contre la municipalité de Pierre Hurmic…
Mais Ugo Mola, manageur du Stade Toulousain, n’a pas voulu « se chercher d’excuses » :
« Collectivement, nous n’avons pas su endiguer les fulgurances de Bordeaux et marquer dans des temps qui auraient pu donner une autre figure au match. Mais sur l’engagement et la qualité de nos joueurs, je ne remettrai rien en cause aujourd’hui. On a perdu un de nos deux titres. Mais comptez sur nous pour être plus difficile à battre dans quelques semaines ! »
On retrouve le nom de Ugo Mola dans le Monde du 7 mai.
Dans le corps de l’ article de Yves Bordenave : Le disparu qui hante le rugby français ».
Le père, torturé par la douleur, du jeune espoir du Stade Toulousain, qui s’est noyé au cap le 7 août 2024 rend hommage à sa dignité et à son empathie.
The show must go on…?
Oui , nous itou.
On pourrait appliquer à Tamara le début du célèbre poème de Joachim du Bellay* , puisque aussi bien Saad en arabe veut dire » chanceux, fortuné, heureux,…
* Heureux ( quand même) qui, comme …Tamara, a fait un rude voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :
Plus mon Irak natal, que le Tibre latin,
Plus mon petit Tigre, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur des flots de l’ Euphrate. »
Bonjour,
J’ai participé à cette réunion. Je partage votre conclusion.Effectivement l’avenir de ce Hall 1 reste très flou.Peu de chose ont été dites sur la « réinsertion » de cet ensemble dans ce quartier qui n’est plus celui des années 70.Le directeur du développement a bien essayé de vanter les couchers de soleil sur le lac, les déjeuners sur l’herbe sur les berges réappropriées par la population, mais ça reste chimérique. Il y régnait comme un air de précampagne électorale en vue des municipales de 2026, avec quelques piques dirigées contre la municipalité de Pierre Hurmic…