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Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Fuir Bangui, se reconstruire à Bordeaux : le parcours d’exil de Grâce à Dieu Daoua
Bercé depuis son enfance par les riffs de rumba congolaise et le chœur religieux de sa paroisse, Grâce à Dieu Daoua, artiste engagé, a dû quitter la Centrafrique en 2017 à cause de ses textes critiques envers le pouvoir. Arrivé à Bordeaux, il se reconstruit dans le domaine de l’informatique et rêve de reprendre la musique. Cinquième et dernier portrait de l’été 2025 de notre série "Du monde en Gironde".
Édition de lundi
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Édition du 14 août
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Édition du 13 août
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Pour Gaza, le Bordeaux qui boycotte Israël
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Chapeau Dany.
Voir plusBeau parcours sans détour qui nous inspire et nous sert de modèle
Un jeu de mot sur votre patronyme, si vous permettez, en lien avec l’article dédié à une autre belle personnalité
« Grâce à Dieu Daoua »: on retrouve niché « God » décliné avec Art …de vivre
Formidable portrait d’ un homme libre et droit…pour lequel l’ arrachement de l’exil sera une plaie perpétuelle que la vie et …la musique sauront apaiser un peu, je l ‘espère…
Je suis soulagé de constater qu’ il existe des anges gardiens anonymes :
« À l’embarquement, son passeport bloque. « Une policière m’a dit qu’elle ne me laisserait pas passer, parce qu’ils avaient des “enquêtes” à faire sur moi », se souvient le jeune homme, alors âgé de 24 ans. Un autre agent, « plus âgé », intervient :
« Il lui a dit de me laisser partir, que j’étais trop jeune pour ça. Il m’a rendu mon passeport… Sans lui, je n’aurais pas pu partir de Bangui, et je n’ai jamais pu lui dire merci », regrette-t-il. »
Que ( Grâce à ) Dieu sauve l’ Afrique *
*https://fr.wikipedia.org/wiki/Nkosi_Sikelel_iAfrika#:~:text=NkosiSikelel'iAfrika(Dieu,(1961)laTanzanie(
Voir plusUn TGV sur une ligne classique « modernisée », c’est comme mettre une Ferrari sur un chemin de campagne : ça roule, mais ça n’a aucun sens.
Voir plus– Les LGV ne coûtent pas plus cher, elles rapportent plus. Des millions de passagers en plus, ça finance largement la maintenance.
– Sans LGV, la SNCF n’aurait jamais repris de voyageurs à l’avion. Le TGV, c’est le seul vrai succès ferroviaire depuis 40 ans.
– Parler de « dettes » est hypocrite : ce sont des investissements, pas des trous sans fond. En 40 ans, les LGV ont payé leur place.
– Les lignes classiques ont été abandonnées non pas à cause des LGV, mais faute de vision politique locale. Accuser le TGV, c’est se tromper de cible.
Si on veut que les trains du quotidien existent demain, il faut que le rail reste attractif aujourd’hui. Et ça, seule la grande vitesse le permet.
Chapeau Dany.
Beau parcours sans détour qui nous inspire et nous sert de modèle
Un jeu de mot sur votre patronyme, si vous permettez, en lien avec l’article dédié à une autre belle personnalité
« Grâce à Dieu Daoua »: on retrouve niché « God » décliné avec Art …de vivre
Formidable portrait d’ un homme libre et droit…pour lequel l’ arrachement de l’exil sera une plaie perpétuelle que la vie et …la musique sauront apaiser un peu, je l ‘espère…
Je suis soulagé de constater qu’ il existe des anges gardiens anonymes :
« À l’embarquement, son passeport bloque. « Une policière m’a dit qu’elle ne me laisserait pas passer, parce qu’ils avaient des “enquêtes” à faire sur moi », se souvient le jeune homme, alors âgé de 24 ans. Un autre agent, « plus âgé », intervient :
« Il lui a dit de me laisser partir, que j’étais trop jeune pour ça. Il m’a rendu mon passeport… Sans lui, je n’aurais pas pu partir de Bangui, et je n’ai jamais pu lui dire merci », regrette-t-il. »
Que ( Grâce à ) Dieu sauve l’ Afrique *
*https://fr.wikipedia.org/wiki/Nkosi_Sikelel_iAfrika#:~:text=NkosiSikelel'iAfrika(Dieu,(1961)laTanzanie(
Un TGV sur une ligne classique « modernisée », c’est comme mettre une Ferrari sur un chemin de campagne : ça roule, mais ça n’a aucun sens.
– Les LGV ne coûtent pas plus cher, elles rapportent plus. Des millions de passagers en plus, ça finance largement la maintenance.
– Sans LGV, la SNCF n’aurait jamais repris de voyageurs à l’avion. Le TGV, c’est le seul vrai succès ferroviaire depuis 40 ans.
– Parler de « dettes » est hypocrite : ce sont des investissements, pas des trous sans fond. En 40 ans, les LGV ont payé leur place.
– Les lignes classiques ont été abandonnées non pas à cause des LGV, mais faute de vision politique locale. Accuser le TGV, c’est se tromper de cible.
Si on veut que les trains du quotidien existent demain, il faut que le rail reste attractif aujourd’hui. Et ça, seule la grande vitesse le permet.