
Photo : Crédits : Mairie de Bordeaux

Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Antisémitisme latent et les élections municipales approchent, il faut donner des gages à l’ultra gauche.
Voir plusLes sondages ne sont pas bons ! il faut sauver les postes…
Le dernier échange entre Bordeaux et la ville israélienne datait de 2021.
La question que je me pose est: pourquoi ?
Merci de nous donner la réponse.
Beaucoup de bruits pour rien ?
Voir plusFallait pas en faire un article.
Il est franchement savoureux de voir la majorité départementale s’émouvoir soudainement de l’instabilité des recettes locales. Voilà 37 ans qu’elle est aux commandes, qu’elle connaît parfaitement la dépendance aux droits de mutation et à la TVA — et qu’elle n’a strictement rien anticipé. Pas une réforme, pas une mobilisation sérieuse, juste des incantations sur la “justice sociale” pendant que les dépenses explosent et que les caisses se vident.
On nous parle aujourd’hui de « débat absent »… mais qui devait le porter, sinon ceux qui gouvernent ? Trop occupés à faire de la politique spectacle, à donner des leçons ou à signer des tribunes creuses ? Gouverner, c’est prévoir. Ici, on gère à la petite semaine en espérant que Paris vienne sauver la mise.
Et pendant ce temps, le président du Département perçoit tranquillement près de 100 000 euros par an — pour découvrir, 5 ans après (dernière élection), que les recettes sont volatiles. C’est un peu tard pour jouer les lucides. L’austérité, ce ne sont pas que des chiffres : c’est l’échec d’une majorité qui s’est crue dans une ONG militante, pas à la tête d’une collectivité.
Voir plusAntisémitisme latent et les élections municipales approchent, il faut donner des gages à l’ultra gauche.
Les sondages ne sont pas bons ! il faut sauver les postes…
Le dernier échange entre Bordeaux et la ville israélienne datait de 2021.
La question que je me pose est: pourquoi ?
Merci de nous donner la réponse.
Beaucoup de bruits pour rien ?
Fallait pas en faire un article.
Il est franchement savoureux de voir la majorité départementale s’émouvoir soudainement de l’instabilité des recettes locales. Voilà 37 ans qu’elle est aux commandes, qu’elle connaît parfaitement la dépendance aux droits de mutation et à la TVA — et qu’elle n’a strictement rien anticipé. Pas une réforme, pas une mobilisation sérieuse, juste des incantations sur la “justice sociale” pendant que les dépenses explosent et que les caisses se vident.
On nous parle aujourd’hui de « débat absent »… mais qui devait le porter, sinon ceux qui gouvernent ? Trop occupés à faire de la politique spectacle, à donner des leçons ou à signer des tribunes creuses ? Gouverner, c’est prévoir. Ici, on gère à la petite semaine en espérant que Paris vienne sauver la mise.
Et pendant ce temps, le président du Département perçoit tranquillement près de 100 000 euros par an — pour découvrir, 5 ans après (dernière élection), que les recettes sont volatiles. C’est un peu tard pour jouer les lucides. L’austérité, ce ne sont pas que des chiffres : c’est l’échec d’une majorité qui s’est crue dans une ONG militante, pas à la tête d’une collectivité.