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Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Dossier
Pour Gaza, le Bordeaux qui boycotte Israël

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Arrêtons de ressasser de vieilles rengaines. Les LGV ne sont pas une menace pour le reste du réseau, elles en sont le moteur. Partout où elles ont été construites, elles ont dopé la fréquentation ferroviaire, attiré des voyageurs qui autrement auraient pris leur voiture ou l’avion, et généré des recettes qui permettent d’entretenir le reste des lignes. Sans LGV, le ferroviaire français serait déjà marginalisé.
Quant aux prétendues « voies fragiles » sujettes aux déformations, c’est une caricature. Les lignes nouvelles sont justement conçues avec des technologies de pointe, des matériaux plus résistants et des normes qui limitent les effets de dilatation. En clair : elles sont plus fiables que les vieilles lignes classiques !
Parler d’un « choix à sens unique » est faux : les LGV permettent de libérer des sillons sur les lignes existantes pour les trains du quotidien. Et surtout, elles donnent au rail une crédibilité et une attractivité que les petites lignes seules ne pourraient jamais obtenir. L’exemple est clair depuis 40 ans : sans TGV, le train français serait resté un mode de transport secondaire.
Bref, les LGV ne sont pas un luxe, mais une condition pour que le ferroviaire survive et se développe. C’est ce qu’on appelle un investissement structurant, pas une dépense à fonds perdus.
Voir plusCher Mme Segret,
Merci de nous avoir livré quelques uns de vos Secrets de vitalité et de confiance qui nous permettent de « René-tre » chaque matin :
« Pas un seul regret. Juste une tristesse qui ne l’a jamais quittée : la perte de René, en 1982, fauché par une crise cardiaque foudroyante.
« Pas une seule journée ne se passe sans que je pense à lui », sourit-elle, »
Voir plusLes projets de LGV vont créer un endettement de plusieurs dizaines de milliards d’euros, nécessiter une maintenance coûteuse sur des voies très sensibles aux déformations, qui empêcheront de maintenir les autres lignes, sur lesquelles le matériel roulant sera toujours vétuste et défaillant.
Voir plusIl ne faut pas faire croire que les LGV permettront le développement des autres lignes.
C’est un choix à sens unique.
On en a la preuve depuis 40 ans et la priorité absolue donnée aux LGV.
Arrêtons de ressasser de vieilles rengaines. Les LGV ne sont pas une menace pour le reste du réseau, elles en sont le moteur. Partout où elles ont été construites, elles ont dopé la fréquentation ferroviaire, attiré des voyageurs qui autrement auraient pris leur voiture ou l’avion, et généré des recettes qui permettent d’entretenir le reste des lignes. Sans LGV, le ferroviaire français serait déjà marginalisé.
Quant aux prétendues « voies fragiles » sujettes aux déformations, c’est une caricature. Les lignes nouvelles sont justement conçues avec des technologies de pointe, des matériaux plus résistants et des normes qui limitent les effets de dilatation. En clair : elles sont plus fiables que les vieilles lignes classiques !
Parler d’un « choix à sens unique » est faux : les LGV permettent de libérer des sillons sur les lignes existantes pour les trains du quotidien. Et surtout, elles donnent au rail une crédibilité et une attractivité que les petites lignes seules ne pourraient jamais obtenir. L’exemple est clair depuis 40 ans : sans TGV, le train français serait resté un mode de transport secondaire.
Bref, les LGV ne sont pas un luxe, mais une condition pour que le ferroviaire survive et se développe. C’est ce qu’on appelle un investissement structurant, pas une dépense à fonds perdus.
Cher Mme Segret,
Merci de nous avoir livré quelques uns de vos Secrets de vitalité et de confiance qui nous permettent de « René-tre » chaque matin :
« Pas un seul regret. Juste une tristesse qui ne l’a jamais quittée : la perte de René, en 1982, fauché par une crise cardiaque foudroyante.
« Pas une seule journée ne se passe sans que je pense à lui », sourit-elle, »
Les projets de LGV vont créer un endettement de plusieurs dizaines de milliards d’euros, nécessiter une maintenance coûteuse sur des voies très sensibles aux déformations, qui empêcheront de maintenir les autres lignes, sur lesquelles le matériel roulant sera toujours vétuste et défaillant.
Il ne faut pas faire croire que les LGV permettront le développement des autres lignes.
C’est un choix à sens unique.
On en a la preuve depuis 40 ans et la priorité absolue donnée aux LGV.