Média local avec zéro milliardaire dedans

Je termine mon propos :
Mais tout le monde ne peut/veut pas utiliser les modes doux (vélos, marche essentiellement) et Bordeaux et les communes limitrophes de Cenon, Lormont, Bruges, Le Bouscat, « Caudéran », « St Augustin/CHU, Talence, Bègles et Floirac ont aussi besoin d’être mieux desservis en transport en commun.
Il s’agirait d’un vrai projet à enjeu métropolitain, pas d’un caprice bordelo-bordelais comme certains veulent le laisser entendre.
La période électorale arrive. La gauche plurielle doit-elle laisser à la droite l’opportunité de proposer ce type de projet d’intérêt public, structurant et économiquement, socialement et écologiquement compatibles ?

Je rejoins sur plusieurs points « Nature en ville ».
Pour sécuriser, mailler et délester les 4 lignes qui existent, il en manque au minimum une 5ème, à priori sur les boulevards avec terminus au nord-ouest à la gare de Cenon par le pont Chaban et au sud vers l’Arena par le pont S. Veil.
Sécurisation avec connexion physique dans l’ordre Nord-Sud des lignes A, B, C, D, A, B, C, notamment en cas d’incident ou de travaux l’une des liaisons tram, ce qui devient de plus en plus fréquent (changement de direction pour rejoindre un dépôt par exemple).
Maillage avec correspondances avec les lignes de tram et de bus croisées A, B, C, D, E, F, G, H, I(CHU-Talence-Thouars), 1, 2, 5,… (réorganisation lignes bus à prévoir).
Délestage de la fréquentation en centre-ville en permettant de nouvelles correspondances SANS passer par les sections chargées essentiellement en intra-boulevard.
Plutôt que réfléchir et engager de l’argent public pour les études d’un métro, cette solution intermédiaire conviendrait parfaitement notamment pour un meilleur fonctionnement et une meilleure efficacité de déplacement en transports en commun : cadencement adapté, meilleure régularité, aménagement plus adapté des boulevards,…

Ce qui n’empêche pas le développement du réseau cyclable et des dispositifs pour faciliter l’usage du vélo et des modes doux en général.
Mais tout le monde ne peut/veut pas utiliser les modes doux (vélos, marche essentiellement) et le centre-ville a besoin d’être

Pourquoi pas ? Mais n’est-ce pas dans la même philosophie que les 15 heures obligatoires pour les « bénéficiaires » du rsa ? N’y a t-il pas de plus dévoiement de ce qu’est le bénévolat, terme qui désigne une activité volontaire ? Et puis ne serait-ce pas une dévalorisation du travail social (fle, animateurs) quand on sait en plus les restrictions de budgets dans ce secteur. On ferme les vannes aux centres sociaux, aux associations locales et on « embauche » indirectement des bénévoles non formés… Pas sûr que les professionnels du secteur soient partant.