Photo : cc/Flickr/Hubertine Heijermans
Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
Édition d'hier
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Photo : MB/Rue89 Bordeaux
Édition de jeudi
Municipales 2026 : Nathalie Delattre se range derrière Thomas Cazenave à Bordeaux
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Bordeaux Métropole en quête d’intelligences artificielles éthiques et frugales
La Métropole de Bordeaux a voté lors de son dernier conseil un "cadre éthique et responsable pour l'usage de l'intelligence artificielle". Elle veut ainsi fixer des garde fous, alors que de nombreux agents la collectivité utilisent ChatGPT malgré les consignes, et préparer le déploiement de nouveaux outils d'IA jugés plus sûrs. Premier volet de notre dossier "IA sauce bordelaise".
Photo : Luc Robène)
Édition de mercredi
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Édition de mardi
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Édition de lundi
Photo : DR
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Édition du 13 décembre
Photo : Par Pavanaja/commons.wikimedia.org/CC
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La révolution pipi-caca
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Elle nous prend vraiment pour des cons, enfin surtout les électeurs de droite et d’extrême droite, quand elle déclare :
Voir plus« Quand on fait de la politique, l’intérêt général doit toujours primer sur toute autre considération. L’heure n’est jamais aux calculs individuels, mais toujours à la responsabilité collective », déclare-t-elle.
Qui a eu l’idée en 2021 d’acheter des bus électriques pour une livraison prévue en 2024, censés accompagner la mise en service de la ligne G ? Petit rappel utile : nous sommes à quelques jours de 2026. Le marché atteint 32 millions d’euros HT. À ce tarif, on pouvait légitimement espérer autre chose qu’une livraison partielle. Sur la vingtaine de bus électriques réceptionnés, seuls 11 ont réellement circulé, et encore de manière aléatoire. Le 2355 n’a pas été revu depuis le 7/11, le 2351 depuis le 17/11, le 2364 depuis le 26/11… la liste est éloquente. Certains bus n’ont jamais vu le moindre service commercial : le 2363 est immobilisé depuis le 30/09, le 2369 depuis le 23/10, le 2374 depuis le 17/09. Sans doute une démonstration très aboutie de la « charge lente ». Le 6 novembre dernier, Christine Bost assurait pourtant : « À partir de demain matin, on aura oublié les 18 mois de retard. La qualité du produit valait véritablement cette attente […] les usagers de la ligne G vont enfin pouvoir tester ces bus nouvelle génération ». Le week-end, inutile d’espérer les voir circuler : le SAV de VDL est fermé, la garantie ne fonctionne pas. Cocasse ! Je ne doute pas un instant que les services juridiques de Bordeaux Métropole soient pleinement mobilisés. En attendant, sur le terrain, les usagers constatent surtout un échec. Silence radio du côté de la Métropole, in fine deTBM. Quant à la presse local et pour faire un peu d’ironie du moment où il n’y a pas de petit four…
Voir plus« où sont passés les bus électriques (34 millions d’€ HT) qui devaient circuler dès juin 2024 ? »
VDL le fabricant avait du retard pour honorer la commande.
Voir plusaccusez qui vous voulez … tant que c’est le bon responsable 🙂
Elle nous prend vraiment pour des cons, enfin surtout les électeurs de droite et d’extrême droite, quand elle déclare :
« Quand on fait de la politique, l’intérêt général doit toujours primer sur toute autre considération. L’heure n’est jamais aux calculs individuels, mais toujours à la responsabilité collective », déclare-t-elle.
Qui a eu l’idée en 2021 d’acheter des bus électriques pour une livraison prévue en 2024, censés accompagner la mise en service de la ligne G ? Petit rappel utile : nous sommes à quelques jours de 2026. Le marché atteint 32 millions d’euros HT. À ce tarif, on pouvait légitimement espérer autre chose qu’une livraison partielle. Sur la vingtaine de bus électriques réceptionnés, seuls 11 ont réellement circulé, et encore de manière aléatoire. Le 2355 n’a pas été revu depuis le 7/11, le 2351 depuis le 17/11, le 2364 depuis le 26/11… la liste est éloquente. Certains bus n’ont jamais vu le moindre service commercial : le 2363 est immobilisé depuis le 30/09, le 2369 depuis le 23/10, le 2374 depuis le 17/09. Sans doute une démonstration très aboutie de la « charge lente ». Le 6 novembre dernier, Christine Bost assurait pourtant : « À partir de demain matin, on aura oublié les 18 mois de retard. La qualité du produit valait véritablement cette attente […] les usagers de la ligne G vont enfin pouvoir tester ces bus nouvelle génération ». Le week-end, inutile d’espérer les voir circuler : le SAV de VDL est fermé, la garantie ne fonctionne pas. Cocasse ! Je ne doute pas un instant que les services juridiques de Bordeaux Métropole soient pleinement mobilisés. En attendant, sur le terrain, les usagers constatent surtout un échec. Silence radio du côté de la Métropole, in fine deTBM. Quant à la presse local et pour faire un peu d’ironie du moment où il n’y a pas de petit four…
« où sont passés les bus électriques (34 millions d’€ HT) qui devaient circuler dès juin 2024 ? »
VDL le fabricant avait du retard pour honorer la commande.
accusez qui vous voulez … tant que c’est le bon responsable 🙂