Enquêtes et actualités gavé locales

Pour les 10 ans de votre média : objectif 2000 abonné⋅es

30/04/2024 date de fin
733 abonné⋅es sur 2 000
Pour ses 10 ans, Rue89 Bordeaux propose un abonnement à 10€/an et vise les 2000 abonné.es

Le pont d’Aquitaine, un « quinquagénaire qui se porte bien » mais revient cher

Inauguré en 1967, le franchissement de la Garonne entre Lormont et Bordeaux, emprunté chaque jour par 100000 véhicules, va subir une nouvelle lourde rénovation pour plusieurs dizaines de millions d’euros. Le prix à payer pour garantir la sécurité de l’infrastructure, attentivement surveillée. Suite de notre dossier « Des routes coûte que coûte ? ».

,
Édition abonnés
Le pont d’Aquitaine, un « quinquagénaire qui se porte bien » mais revient cher
Le pont d’Aquitaine a été inauguré en 1967

Alors que Bordeaux bénéficiera cette année avec le pont Simone-Veil d’un cinquième franchissement sur la Garonne, 10 ans après le pont Chaban-Delmas, de gros travaux vont commencer sur un de leurs prédécesseurs. La Direction interdépartementale des routes (Dira), les services en charge des grands axes appartenant à l’Etat, prévoit en effet d’investir d’ici 2030 plus de 80 millions d’euros dans la rénovation du pont d’Aquitaine.

« Il s’agira de chantiers importants de remise en peinture et de régénération, indique à Rue89 Bordeaux François Duquesne, directeur interdépartemental des routes. C’est une phase classique de rénovation : nous devons changer les appareils d’appui du viaduc, des dispositifs métalliques sous le tablier, des parties de l’ouvrage qui doivent être renouvelées chaque dizaine d’année. »

Lisez la suite pour 1€

En profitant de notre offre d’essai, résiliable en ligne à tout moment.

Pour accéder à cet article, il faut être abonné. Pourquoi ?

Les informations exclusives, les enquêtes et certains reportages constituent l’édition abonnés de Rue89 Bordeaux. En tant que média indépendant, nos ressources proviennent de nos lectrices et lecteurs abonnés, aucun milliardaire ni groupe bancaire ne nous finance.

Nous demandons à nos lecteurs une faible contribution pour disposer à Bordeaux d’un média critique des pouvoirs, capable d’enquêter et de traiter les enjeux locaux en profondeur et dans la durée.

Chaque abonnement compte. Toutes nos recettes sont investies dans un journalisme local indépendant, dont la force et la réactivité dépend directement du nombre d’abonnés actifs.

Je m’abonne 

Abonnez-vous maintenant pour suivre l’actualité locale.

Déjà abonné ?

Connectez-vous

L’investigation locale à portée de main.

Abonnez-vous et profitez d’un accès illimité à Rue89Bordeaux. Annulez quand vous voulez.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Choisissez votre formule :

Les coûts nécessaires à la construction et à l’entretien des infrastructures routières attirent moins l’attention du grand public que ceux des voies ferrées. Ils sont pourtant colossaux, et pour l’essentiel à la charge des contribuables, y compris le stationnement payant. Toute nouvelle route – comme la déviation du Taillan –, ou élargissement de voie existante, pousse en outre à la création ou à l’agrandissement du réseau.

Voir tous les articles

#La Réole

Activez les notifications pour être alerté des nouveaux articles publiés en lien avec ce sujet.

Voir tous les articles

À lire ensuite


Ce service unique en Gironde qui aide les personnes handicapées à être parents
Portrait d'Erwan Kezzar, un des pionniers du no-code en France.
Patricia Carey (gauche), médecin responsable de l'APS à La Réole, et son équipe du jour composée d'une infirmière et d'une aide-soignante.
Partager
Plus d'options