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Emmanuelle Ajon : « A Bordeaux, le logement ne sera plus une catapulte financière »

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Nicolas Florian : « Je suis un pragmatique, je ne veux pas vendre du rêve aux gens »
Philippe Poutou : « Nous sommes la vraie gauche qui a envie de renverser la table »

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Pierre Hurmic : « Bordeaux a le choix entre la transition écologique ou le conservatisme pantouflard »

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« L’écologie doit être à la fois liberticide et démocratique »
Il y a 4 ans

« L’écologie doit être à la fois liberticide et démocratique »

La crise provoquée par la pandémie de Covid-19 est-elle un prémisse de l'effondrement de nos sociétés fondées sur les énergies fossiles et les ressources non renouvelables ? Elle a en tous cas révélé, si besoin était, les inégalités qui y prospèrent, et "enfoncé quelques dogmes" sur la mondialisation, estime Philippe Bihouix, ingénieur et directeur adjoint de l'Arep, un bureau d'études filiale de la SNCF. L'auteur bordelais de "L'âge des low-tech" et du "Bonheur était pour demain" (tous deux publiés au Seuil) estime que croissance verte et Green New Deal ne sont que poudre aux yeux face à l'urgence écologique. Regrettant le manque de travaux sur une économie de la décroissance, il plaide pour davantage de dirigisme, en expérimentant pour cela des outils démocratiques alternatifs.

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Sandra Patron : « l’ADN du Capc, c’est à la fois un centre d’art et un musée »
Première coopérative ferroviaire, Railcoop veut relancer la ligne Bordeaux-Lyon

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« Cette société risque d’être détruite au nom de la distanciation »
Il y a 4 ans

« Cette société risque d’être détruite au nom de la distanciation »

La pandémie de Covid-19 est "une des conséquences effroyables de la crise écologique" causée par notre système de capitalisme mondialisé, estime Barbara Stiegler, professeur de philosophie politique à l’Université Bordeaux Montaigne. Pour l'auteure de « Il faut s’adapter » (Gallimard, 2019) et de "Du cap aux grèves. Récit d’une mobilisation. 17 novembre 2018 – 17 mars 2020" (Verdier, à paraître en septembre), le confinement et la gestion de la crise qui en découlent sont un laboratoire qui peut permettre au néolibéralisme de se renforcer. Ce modèle, à ne pas confondre avec l'ultralibéralisme, prône un État fort, s'appuyant sur des experts, et sommant les citoyens de "s'adapter" au capitalisme numérique et à un "monde d'après" qui pourrait être moins démocratique, prévient la spécialiste des questions de santé. Figure engagée dans le mouvement social, elle appelle à lutter pour changer de modèle. Entretien.

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Le locatourisme, porte de sortie pour une industrie sinistrée ?
Trou d’air pour le logement social à Bordeaux Métropole

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Vincent Tiberj : « Bordeaux n’est plus une ville acquise »

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